… ou encore « bête comme chou » !
Et oui, aussi fou que cela puisse paraître, les plantes ne sont si bêtes, n’en déplaise à certains. En effet, comme le Mimosa pudica, elles auraient la capacité d’apprendre et de s’adapter à une situation bien précise.
La nouvelle publication affirme que des expériences permettent d’enseigner aux plantes d’apprendre plus vite et d’oublier plus lentement au sein des environnements qui privilégient ce comportement. Les chercheurs ont utilisé une plante qui amuse et interpelle beaucoup les enfants. Il s’agit du Mimosa Pudica. Cette plante est connue pour savoir replier les feuilles en cas de contact.
On a appliqué un protocole qui s’applique usuellement aux tests de comportements des animaux et de leurs compromis.
Vous l’avez compris : ce n’est pas parce que les plantes n’ont pas notre système nerveux ni notre cerveau qu’elles ne sont pas capables de réaliser des opérations de mémorisations. Les plantes possèdent un réseau sophistiqué de communication à base de calcium et cela ressemble fort au processus de mémorisation des animaux.
On ne sait toutefois pas encore bien comment elles arrivent à cette prouesse. Il n’empêche : ce genre de découvertes montre de plus en plus la frontière floue qui existe entre animaux et plantes et même notre définition de ce que sont l’apprentissage et la mémoire.
La question qui tue… c’est : « qu’ont appris les plantes sur nous ? »
4 avril 2014 à 9 h 52 min
Elle doivent se dire pourquoi on nous a mis ces gars la sur notre planète?? On étaient bien nous avec les dinosaures 😀